Haltes de quelques amis à Ferrières


Visites, réceptions, exposition sous les couleurs de l’automne 2019

La fin de l’été et les mois d’automne généreusement ensoleillés furent choisis par plusieurs groupes pour visiter Ferrières, conseillés par des amis, la Fondation du Patrimoine ou encore la Mairie de Fontrieu. Certes, les conditions de réception dans les salles d’une maison habitée —a fortiori en cours de travaux—, obligent à privilégier visites et animation quasi intimistes. Cependant, les échanges libérés des contraintes du temps n’en sont que plus agréables et servis par l’importance accordée à la poésie des lieux.

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Les amis de Saïx, le 26 août

Les membres de l’Association de recherches cartusiennes, d’étude et de sauvegarde du patrimoine de Saïx ont pu partager la passion de leur président Jean-Paul Alary et de Jean-Pierre Carme pour l’histoire du Pays castrais et des richesses souvent insoupçonnées qu’ils détectent tous deux : non “de la cave au grenier“ mais —mieux encore !— du plus profond des souterrains au plus haut des clochers. Un après-midi où résonna le nom de Huguette Balarot (auteur du livre pour enfants édité à Ferrières : “Écoute la Chartreuse pour connaître la vie“) et, bien sûr, les pans d’histoire durant lesquels Ferrières et Saïx furent associés dans des moments probablement cruels en plein cœur des guerres de religions.

L’actualité de l’ARCESPS, octobre 2019

Voir l’article “voici 450 ans…”.

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Les amis de Lavaur, le 25 septembre

Le fidèle attachement à Ferrières de Michel et Claire Roudet ne pouvait que se manifester alors que la désignation de la maison par la mission Bern lui offre de nouveaux horizons. La Société archéologique du Pays vaurais fut ainsi invitée par son président à traverser les forêts du Sidobre pour rejoindre Ferrières avant de visiter Lacaze et son château sous la houlette d’Alain Ricard, Maire adjoint. Une journée dans la “montagne“, sous le sceau de l’amitié.

Article de la revue “Bouche B“- “Promenade dans une terre d’humanisme”

Voir l’article “Lavaur fidèle à son histoire… sans détours”.

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Exposition des peintures de Richard Fabre

Richard Fabre respire à pleins poumons les expériences, ne concevant d’apprendre que si le “prime abord“ peut être prolongé dans l’action. Son regard et son écoute nourrissent à tel point sa vision de créateur qu’il en acquit un professionnalisme reconnu.

Mon invitation à présenter ses œuvres graphiques et picturales fut motivée par l’acte déterminé dont il fut l’auteur : se jeter dans une création picturale spontanée, inspirée et cadrée par un récital d’orgue et de violon qui eut lieu à Castres voici quelques années : un challenge incertain… et réussi !

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L’association Ferrières Renaissance reçoit ses amis d’outre-Pyrénées

Trois journées n’ont pas suffi à entamer l’énergie de ces retrouvailles avec les amis d’Obanos, Eunate et Olcoz. Le thème était tout trouvé, associant ces haut-lieux et Ferrières avec l’enseignement de la philosophie antique relayé par les courants gnostiques, décelable de nos jours grâce à la science de quelques chercheurs éclairés. Quel plaisir d’écouter Jesus Zulet nous en entretenir avec tant d’arguments et de références accumulés que nous en avons pour une année d’études en solitaire ! Seules les ombres du soir s’introduisant subrepticement dans la salle eurent raison de la réunion. Alors, tout nouvellement accordé pour la circonstance, le piano se soumit volontiers aux doigts de Rosa : des notes qui se bousculèrent pour s’aventurer dans les moindres recoins de la maison.

La magie de l’amitié avait sévi.

Nous en avons encore bénéficié le lendemain en nous égarant dans le Sidobre (depuis “l’Orée des Bois“ à Lacrouzette). Du Roc de l’Oie au Lac du Merle, la nature était paisible, loin du brouhahas touristique. Un enchantement.

À l’instant du départ, il nous semblait que Pamplona n’était plus qu’à quelques kilomètres du Tarn. Que Joaquín, Rosa, Jesus et Merce trouvent ici un peu de ces bons moments de partage et redisent aussi à Pili et Juani combien nous espérons leur venue la prochaine fois. Car nous recommencerons !

Voir l’article “Nos échanges transfrontaliers”.

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