Après la réouverture des anciennes cuisines, Ferrières se dote d’un espace indispensable au bien-vivre : il ne reste plus qu’à y préparer de bons plats !
La passion aveugle-t-elle ? Certainement pas, mais à vouloir trop aiguiser le regard du passionné, son autorité restreint drastiquement l’horizon à atteindre. Heureusement, ceux qui la partagent se muent en vigies pour réorienter le navire.
Ce fut le cas, à la veille de cette phase déterminante du chantier de restauration qui débutera cet été : des amis fidèles parmi les plus fidèles ont réveillé l’ambition du projet initial. Ferrières le leur devra.
Ainsi, grâce à leur constance et leur lucidité, les fours du château viennent de retrouver leur jeunesse : non seulement par la décision vers laquelle ils surent m’entraîner mais surtout “en alliant le geste à la parole“. Une action si énergique que dans la seule journée du 13 mars, la salle voûtée, sa cheminée et les deux soles séculaires furent réhabilitées !
Une prouesse qui vient si heureusement compléter l’opération similaire conduite le 24 octobre dernier sur l’autre face du grand escalier où les anciennes cuisines retrouvèrent leur lustre d’antan.
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